La reflexión de hoy intenta conciliar dos ideas que han llegado hasta mí y que me parecen altamente interesantes: una sicoanalítica y la otra etológica, es decir, referente al comportamiento animal. Se trata, para mí, de dos pequeños tesoros que me han enseñado muchas cosas, y que me han tranquilizado por un período de tiempo más o menos largo. Ya abandoné la idea de encontrar una Biblia de las cosas. Ahora sé que el parámetro tiempo forma parte de todo este juego, y que se trata de encontrar las palabras justas en el momento justo que sirvan para inspirarnos, eso sí, durante una temporada…
La idea escrita puede parecer una banalidad, pero no lo es. La propuesta consiste en sustituír la mayoría de los por qués que nos hacemos al cabo del día, por para qués, es decir, cuál es la ventaja, provecho o utilidad que se desprende de la nueva situación provocada por el hecho, y siempre con la mirada puesta en alguna característica de la naturaleza, en este caso, humana.
Se trata de un pequeño cambio que resulta mentalmente estimulante; como una especie de masaje al que hay que recurrir períodicamente si queremos aprovecharnos de sus efectos benéficos. La fórmula ¿por qué? suele dar unos resultados de respuesta muy pobres y sin posibilidad de ampliación: ¿por qué te apetece irte a la gran ciudad a vivir? Porque sí. Porque esto es un aburrimiento y no hay trabajo ni nada… ¿Para qué quieres irte a vivir a una gran ciudad? Para tener más oportunidades (somos seres “oportunistas”). Para tener mis cosas (deseo de confort y territorialidad). Para tener libertad, que aquí todo el mundo te conoce y sabe lo que haces en cada momento (necesidad de aceptación sin menoscabo de intereses personales). Para hacer las cosas que me gustan (pertenencia a un grupo con el que compartir y sentirse seguro, fuerte y cómodo). Para promocionarme socialmente (anhelo de pertenencia al grupo social más elevado posible). Para probar fortuna (desde la llegada de los mass media se puede llegar a lo más alto del status social un poco “por la cara” y a partir de ahí ser reconocido, respetado, servido…)
Hasta ahora solo hemos hablado de las bondades de la gran ciudad y de lo que, a simple vista, pueden ser características “políticamente correctas” del ser humano. Pero la herramienta del “para qué” nos debe servir también para las dificultades, lo desagradable y lo más oscuro que también se encuentra en nuestra naturaleza como puede ser lo cazadores y lo gregarios que somos (desde el punto de vista del cazado), la violencia, lo extremadamente territoriales que somos, también podemos llegar a ser muy susceptibles y miedosos (lo cual puede degenerar en violencia); aprovechamos el anonimato para no empatizar y tratar al prójimo como miembros de una tribu rival (robos, destrozo de mobiliario urbano, deterioro de bienes públicos…). También está en nuestra naturaleza excluír al forastero precisamente para podernos sentir más seguros y cómodos. Compartimos felicidades con nuestro grupo pero también violencia para mostrar lealtad al amigo, clan familiar, tribal o nacional… Otra característica de nuestro comportamiento animal es la necesidad de mostrar el poder o la altura social (unas veces la ostentación se hace directamente y otras de una forma más elaborada y reprimida, pero son las dos caras de una misma moneda).
Para terminar, me gustaría señalar la tendencia universal del hombre a relacionar lo grande con el poder. Siempre que ha querido remarcar su supremacía sobre los demás se ha situado en alto o ha construído un edificio de dimensiones colosales, o las dos cosas…
Y ¿por qué he expuesto primero bondades, vicios y luego lo neutro? Porque me enseñaron en la escuela que hay que mostrar un cierto orden en la exposición de ideas. Pero ¿para qué te enseñaron ese orden? Para darte seguridad y confianza en este mundo en el que somos todas esas cosas: mezcladas y al mismo tiempo…
jueves, 22 de febrero de 2007
La vie en ville
Il est très facile de proposer des stratégies pour améliorer la vie en ville. Il s’agit de regarder toutes nos actions en les imaginant d’une façon plus propre, plus silencieuse, plus rapide, plus saine et plus stimulante. D’habitude, nous écoutons des conseils comme l’usage de systèmes d’énergie solaire dans les bâtiments, la transformation piétonne dans le centre ville, le rétrécissement des chaussées pour agrandir les trottoirs, récupérer les vieux bâtiments, etc…
Il me plaît de réfléchir sur la fonction du politicien. Il y a des transformations dans nos vies et dans nos villes, qui ont plus à voir avec les lois de la nature humaine ou de l’économie (aussi humaine) qu’avec des idées visionnaires d’un politicien. Pour moi, la politique doit être un mécanisme pour protéger les plus démunis ou, sinon, intervenir le moins possible. Je ne crois pas à la bonté (cela devient une idée juif chrétienne). Je ne trouve dans la scène politique actuelle que des professionnels de l’image avec le seul objectif d’arriver au pouvoir ou de s’y perpétuer.
Chaque fois qu’il y a quelque chose que je ne comprends pas, j’aime me questionner sur la base, sur notre nature, sur nos ambitions… D’une façon consciente ou inconsciente nos actions débouchent toujours sur quelque profit. La connaissance humaine progresse par essai/erreur. C’est pour cela que j’aime l’architecture populaire de Fez, de Venise, mais non pas celle de Brasilia. Dans ce cas, il existe un profit individuel à propos de la vanité de l’architecte sur les avantages de la collectivité qui ne reçoit pas un bon service de transport urbaine, il n’y a personne dans la rue, c’est une ville sans parcs, sans jardins, avec des distances kilométriques et avec des bâtiments très futuristes mais très peu fonctionnels… C’est vrai que, à la fin, l’homme s’y adapte et, soit il occupe ces bâtiments, soit il les utilise comme atout touristique. À mon avis, l’architecture a le devoir d’être au service de l’homme, et non pas le contraire. Un autre exemple d’échec urbanistique nous le trouvons dans le Parc Güell de Gaudí, à Barcelone. Il a été conçu pour y habiter mais on ne va jamais l’utiliser pour y vivre. Aujourd’hui, le parc est un point touristique incontournable, mais cela c’est une autre histoire…
Je demande aux politiciens de ne pas copier des modèles urbanistiques d’autres lieux pour la seule raison de l’esthétique ou la propagande électorale ; par contre, je leur propose d’avoir le courage de créer des lois qui empêchent que l’on fasse de la spéculation avec les terrains urbains aussi bien qu’avec le lait, ou le pain… et pratiquer des politiques vraiment sociales (pas de tirages au sort) en matière de logement. Il est davantage prioritaire pour la qualité de vie du peuple que les jeunes puissent s’émanciper avant les trente cinq ans en moyenne, plutôt que remplacer les pavés du centre-ville.
Ma réflexion pour améliorer la vie dans la ville, pointe sur la cible de ce qui reste à canaliser définitivement: le gaz butane et les ordures. Avoir besoin d’utiliser des camions pour distribuer de l’énergie dans de bouteilles et de ramasser les résidus et les transporter également, cela ne paraît pas une méthode très moderne.
Pour finir, il me plairait de citer un proverbe oriental concernant l’action pour l’avantage collectif et non pour satisfaire quelque vanité individuelle : « Dirigeant invisible, peuple heureux ».
Il me plaît de réfléchir sur la fonction du politicien. Il y a des transformations dans nos vies et dans nos villes, qui ont plus à voir avec les lois de la nature humaine ou de l’économie (aussi humaine) qu’avec des idées visionnaires d’un politicien. Pour moi, la politique doit être un mécanisme pour protéger les plus démunis ou, sinon, intervenir le moins possible. Je ne crois pas à la bonté (cela devient une idée juif chrétienne). Je ne trouve dans la scène politique actuelle que des professionnels de l’image avec le seul objectif d’arriver au pouvoir ou de s’y perpétuer.
Chaque fois qu’il y a quelque chose que je ne comprends pas, j’aime me questionner sur la base, sur notre nature, sur nos ambitions… D’une façon consciente ou inconsciente nos actions débouchent toujours sur quelque profit. La connaissance humaine progresse par essai/erreur. C’est pour cela que j’aime l’architecture populaire de Fez, de Venise, mais non pas celle de Brasilia. Dans ce cas, il existe un profit individuel à propos de la vanité de l’architecte sur les avantages de la collectivité qui ne reçoit pas un bon service de transport urbaine, il n’y a personne dans la rue, c’est une ville sans parcs, sans jardins, avec des distances kilométriques et avec des bâtiments très futuristes mais très peu fonctionnels… C’est vrai que, à la fin, l’homme s’y adapte et, soit il occupe ces bâtiments, soit il les utilise comme atout touristique. À mon avis, l’architecture a le devoir d’être au service de l’homme, et non pas le contraire. Un autre exemple d’échec urbanistique nous le trouvons dans le Parc Güell de Gaudí, à Barcelone. Il a été conçu pour y habiter mais on ne va jamais l’utiliser pour y vivre. Aujourd’hui, le parc est un point touristique incontournable, mais cela c’est une autre histoire…
Je demande aux politiciens de ne pas copier des modèles urbanistiques d’autres lieux pour la seule raison de l’esthétique ou la propagande électorale ; par contre, je leur propose d’avoir le courage de créer des lois qui empêchent que l’on fasse de la spéculation avec les terrains urbains aussi bien qu’avec le lait, ou le pain… et pratiquer des politiques vraiment sociales (pas de tirages au sort) en matière de logement. Il est davantage prioritaire pour la qualité de vie du peuple que les jeunes puissent s’émanciper avant les trente cinq ans en moyenne, plutôt que remplacer les pavés du centre-ville.
Ma réflexion pour améliorer la vie dans la ville, pointe sur la cible de ce qui reste à canaliser définitivement: le gaz butane et les ordures. Avoir besoin d’utiliser des camions pour distribuer de l’énergie dans de bouteilles et de ramasser les résidus et les transporter également, cela ne paraît pas une méthode très moderne.
Pour finir, il me plairait de citer un proverbe oriental concernant l’action pour l’avantage collectif et non pour satisfaire quelque vanité individuelle : « Dirigeant invisible, peuple heureux ».
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