jueves, 22 de febrero de 2007

La vie en ville

Il est très facile de proposer des stratégies pour améliorer la vie en ville. Il s’agit de regarder toutes nos actions en les imaginant d’une façon plus propre, plus silencieuse, plus rapide, plus saine et plus stimulante. D’habitude, nous écoutons des conseils comme l’usage de systèmes d’énergie solaire dans les bâtiments, la transformation piétonne dans le centre ville, le rétrécissement des chaussées pour agrandir les trottoirs, récupérer les vieux bâtiments, etc…
Il me plaît de réfléchir sur la fonction du politicien. Il y a des transformations dans nos vies et dans nos villes, qui ont plus à voir avec les lois de la nature humaine ou de l’économie (aussi humaine) qu’avec des idées visionnaires d’un politicien. Pour moi, la politique doit être un mécanisme pour protéger les plus démunis ou, sinon, intervenir le moins possible. Je ne crois pas à la bonté (cela devient une idée juif chrétienne). Je ne trouve dans la scène politique actuelle que des professionnels de l’image avec le seul objectif d’arriver au pouvoir ou de s’y perpétuer.
Chaque fois qu’il y a quelque chose que je ne comprends pas, j’aime me questionner sur la base, sur notre nature, sur nos ambitions… D’une façon consciente ou inconsciente nos actions débouchent toujours sur quelque profit. La connaissance humaine progresse par essai/erreur. C’est pour cela que j’aime l’architecture populaire de Fez, de Venise, mais non pas celle de Brasilia. Dans ce cas, il existe un profit individuel à propos de la vanité de l’architecte sur les avantages de la collectivité qui ne reçoit pas un bon service de transport urbaine, il n’y a personne dans la rue, c’est une ville sans parcs, sans jardins, avec des distances kilométriques et avec des bâtiments très futuristes mais très peu fonctionnels… C’est vrai que, à la fin, l’homme s’y adapte et, soit il occupe ces bâtiments, soit il les utilise comme atout touristique. À mon avis, l’architecture a le devoir d’être au service de l’homme, et non pas le contraire. Un autre exemple d’échec urbanistique nous le trouvons dans le Parc Güell de Gaudí, à Barcelone. Il a été conçu pour y habiter mais on ne va jamais l’utiliser pour y vivre. Aujourd’hui, le parc est un point touristique incontournable, mais cela c’est une autre histoire…
Je demande aux politiciens de ne pas copier des modèles urbanistiques d’autres lieux pour la seule raison de l’esthétique ou la propagande électorale ; par contre, je leur propose d’avoir le courage de créer des lois qui empêchent que l’on fasse de la spéculation avec les terrains urbains aussi bien qu’avec le lait, ou le pain… et pratiquer des politiques vraiment sociales (pas de tirages au sort) en matière de logement. Il est davantage prioritaire pour la qualité de vie du peuple que les jeunes puissent s’émanciper avant les trente cinq ans en moyenne, plutôt que remplacer les pavés du centre-ville.
Ma réflexion pour améliorer la vie dans la ville, pointe sur la cible de ce qui reste à canaliser définitivement: le gaz butane et les ordures. Avoir besoin d’utiliser des camions pour distribuer de l’énergie dans de bouteilles et de ramasser les résidus et les transporter également, cela ne paraît pas une méthode très moderne.
Pour finir, il me plairait de citer un proverbe oriental concernant l’action pour l’avantage collectif et non pour satisfaire quelque vanité individuelle : « Dirigeant invisible, peuple heureux ».

1 comentario:

Marian dijo...

O la la, o mon dieu... ¿? Estás transpirenaico perdido, compi, pero seguro que está muy bien.